Salariés et élus se mobilisent pour tenter de sauver le site menacé de fermeture dans 2 ans. La présidente de la région Bourgogne-Franche-Comté salue la réunion de crise à l'Elysée. Bémol, elle fustige l'intervention tardive du gouvernement. Ce dernier souhaite aider Alstom a trouver plus de clients pour rester dans la région et ainsi éviter le transfert en Alsace. 400 emplois sont menacés même si la direction du groupe affirme qu'il y aura des reclassements ailleurs. Alors que le constructeur engrange à l'étranger des mégacontrats, en France il est en proie à des carnets de commande vide. L'Etat détient 20 pour cent du capital de Alston qui fabrique notamment le TGV.
Montoya
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