Après l'attaque sanglante de deux surveillants dans la maison d'arrêt de Osny, dans le Val-d'Oise, les questions fusent. Cette attaque s'est produite dans un centre spécialisé dans la prise en charge des détenus radicalisés. Il n'y a visiblement pas de recettes miracle pour déradicalisés ces individus dangereux. Tous les pays tâtonnent face aux risques que représentent ces hommes. La stratégie pour mettre en bas ce prosélytisme en détention est problématique et le gouvernement doit clarifier sa doctrine en la matière. Les syndicats de surveillants ont dénoncé à plusieurs reprises cette "hérésie" de concentrer les détenus radicalisés liés au terrorisme djihadistes. Quid de ces hommes qui seront relâchés dans plusieurs mois ou plusieurs années ? Ces individus seront-ils vraiment déradicalisés ou seront-ils prêts à commettre de nouveaux attentats sur notre sol ? La pertinence de ces établissements dont l'objectif est la déradicalisation est vraiment posée... et pour l'instant aucune réponse politique n'a été apportée.
Montoya (l'Armée de Terre recrute !)
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