Le TGI de Paris a décidé aujourd'hui de ne pas interdire la vente de l'hebdomadaire. Il contient des images issues de la vidéosurveillance de l'attentat sur la promenade des anglais il y a un an. En revanche, toutes nouvelles diffusions des photos incriminées est interdite et sur tous les supports. Les victimes et leurs proches ont fustigé cette pratique du magazine. "Les photos portent atteintes à la dignité des victimes, a déclaré l'avocat de la Fenvac", Eric Morain.
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