Le Premier ministre persiste et signe : en dépit de la décision du Conseil d'Etat, il réaffirme sa solidarité envers les maires qui ont pris des arrêtés anti-burkini. Un réquisitoire sur FB contre "un islamisme mortifère, rétrograde". "La décision du Conseil d'Etat de suspendre un arrêté anti-burkini n'épuise pas le débat qui s'est ouvert en France sur le port de ce vêtement de plage pour femmes musulmanes". Propos écrit sur FB hier soir. Le Premier ministre confirme, toutefois, que "toute interdiction doit effectivement établir le risque d'atteinte à l'ordre public". E. Valls, répète que dénoncer le burkini, "ce n'est en aucun cas mettre en cause une liberté individuelle". "Il n'y a pas de liberté qui enferme les femmes !". "L'islam doit trouver sa place dans notre société mais pas un Islam mortifère".
Montoya
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