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Ce village doit accueillir 87 migrants soit 40 % du nombre total de migrants intégrés dans le département de l'Hérault. C'est beaucoup trop pour la population locale et pour le maire de cette commune qui menace de démissionner. Cette commune a été choisie car il existe à la sortie du village un bâtiment pour les jeunes en difficultés avec des activités en pleine nature. Des négociations étaient en cours ce samedi 22 octobre avec la préfecture pour tenter d'apaiser les passions et pour réduire le nombre de migrants. Une nouvelle illustration de l'hostilité d'une partie de la population devant le démantèlement de la jungle de Calais initiée par le ministre de l'intérieur.
Montoya (l'Armée de Terre recrute !)
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