Un soldat français perd la vie dans la zone irako-syrienne !

Un para a été tué au combat ce week-end dans la zone Syrie/Irak. Emmanuel Macon a annoncé ce samedi soir la mort d'un adjudant parachutiste des forces spéciales françaises. C'est la première fois qu'un soldat français est tué dans cette zone irako-syrienne depuis le début de l'opération Chammal, en septembre 2014 selon une source militaire. Le chef des armées "salue le sacrifice" de cet "adjudant du 13e régiment de dragons parachutistes", "tué dans l'accomplissement de sa mission pour la défense de notre pays, la protection de nos concitoyens et la lutte contre la barbarie". 

Affaire Maëlys : l'étau se resserre autour du suspect

Image d'archive gendarmes

Selon Franceinfo, le suspect aurait tenté de semer les gendarmes en civil avant sa garde à vue. Ce gère de comportement peut être lié à ses activités de vente de stupéfiants. Les forces de l'ordre savaient que le suspect vendait et consommait de la drogue. Les gendarmes n'excluent pas l'existence d'un éventuel complice dans l'enlèvement de la jeune fille. Deux juges d'instruction grenoblois sont sur dossier avec une dizaine d'enquêteurs. Le suspect menacé de mort par des détenus à la prison de Grenoble-Varces a été transféré au centre pénitentiaire de Saint-Quentin-Fallavier. La fillette âgée de  9 ans a disparu il y a un mois lors d'un mariage à Pont-de-Beauvoisin en Isère.

Incendie criminel à la gendarmerie à Grenoble

Gendarmes

Le parking couvert de la gendarmerie de Grenoble a été ravagé par les flammes la nuit dernière. Au moins 50 pompiers ont été mobilisés pour venir à bout des flammes. Pas de blessés et les bâtiments des militaires ont été épargnés. La piste criminelle est privilégiée. Le grillage du groupement qui entoure la gendarmerie aurait été coupé. 

Lafarge aurait versé 20 000 euros par mois à l'Etat Islamique en Syrie !

Lafarge 

Information révélée par Le Monde. Le journal diffuse des éléments de l'enquête judiciaire sur les agissements du cimentier franco-suisse en Syrie entre 2013 et 2014. 9 responsables de Lafarge ont été entendus par les enquêteurs. Après la prise de la ville de Raqqa, au milieu de l'année 2013, par l'organisation Etat islamique, un responsable du groupe terroriste a commencé à réclamer de l'argent au cimentier à partir de l'automne. Un responsable du groupe terroriste rencontre alors l'intermédiaire mandaté par Lafarge pour négocier. Le Monde révèle notamment que "la décision du leader mondial des matériaux de construction de rester en Syrie a reçu l'aval des autorités françaises, avec lesquelles le groupe était en relation régulière entre 2011 et 2014". Certains responsables de Lafarge affirment avoir consulté le gouvernement au sujet du maintien de leur activité dans le pays. L'ancien directeur général adjoint opérationnel de Lafarge affirme que le "gouvernement français" a "fortement incité" le groupe à rester en Syrie pour préparer l'après-guerre civile. "C'est quand même le plus gros investissement français en Syrie et c'est le drapeau français."

Affaire Maëlys : ouverture d'une enquête contre l'imposteur qui se fait passer pour la mère de la fillette disparue

Justice

Le parquet de Lyon a ouvert une enquête contre l'imposteur qui a osé prendre l'identité de la mère de la fillette disparue. L'individu a tenté de soutirer de l'argent à plusieurs internautes. L'escroc, au nom de ''Yveline Moreau", a été signalé par l'une de ses victimes, un lyonnais de 57 ans. La fausse mère de Maëlys, dont le nom ne correspondait pas à l'identité usurpée, réclamait aux internautes "une aide financière" pour élargir les recherches sur tout le territoire. Sur les conseils de son fils, l'homme qui a été victime de l'individu sans scrupule a porté plainte à la gendarmerie de Tassin-la-Demi-Lune dans le Rhône. L'arnaqueur n'a pour l'instant pas été identifié mais les gendarmes ont mené des réquisitions informatiques pour tenter de remonter jusqu'à lui. La famille de Maëlys, choquée, selon son entourage, envisage elle aussi de porter plainte.